Une avancée majeure dans le traitement de la maladie de Parkinson semble à portée de main : une équipe de chercheurs internationaux a montré qu’une thérapie génique peut faire rétrocéder les déficits moteurs et sauver les neurones dopaminergiques. L’expérience a été faite sur un singe. La recherche progresse pas à pas : le remplacement de la dopamine est une première étape dans le traitement, la transplantation de tissus fœtaux est à un stade précoce d’expérimentation clinique, c’est donc la thérapie génique qui devient porteuse d’espoir.
Le Quotidien du Médecin 27/10/2000