D’après une étude récente du British Pregnancy Advisory Service, plus de la moitié des femmes ayant eu recours à l’avortement au Royaume-Uni, était sous contraceptif.
Le British Pregnancy Advisory Service a mené son enquête auprès d’environ 40 000 femmes ayant eu recours à un avortement. 24,1% d’entre elles étaient sous contraception hormonale (pilule, implant ou stérilet) au moment de leur grossesse et 27,1% utilisaient une contraception non hormonale telle que le préservatif ou le diaphragme. Ainsi, 51,2% des 40 000 femmes interrogées étaient sous contraception quand elles sont tombées enceintes.
Ces chiffres illustrent la non-fiabilité des contraceptifs « au Royaume Uni comme en France où, selon les chiffres du Planning Familial, 76,2% des Françaises utilisent un moyen de contraception ».
Marie Claire (10/07/2017), RTL (12/07/2017)