Des prélèvements illégaux sur des foetus et embryons avortés ont été stoppés par la police hongroise. Les suspects, deux hongrois, un américain et un ukrainien étaient sur le point de traiter un patient dans une clinique privée à partir de ces cellules.
Une procédure judiciaire est lancée pour "utilisation interdite du corps humain".
Le JDD.fr 29/07/09