PMA, GPA, et la mère dans tout ça ?

Publié le 20 Juil, 2020

Autour du projet de loi de bioéthique et de l’adoption de la « PMA pour toutes », juste avant la GPA, le sujet de la maternité intervient en contrepoint du débat sur l’éviction légale des pères. En effet, si la paternité est touchée par les nouvelles méthodes de procréation, la maternité n’est pas épargnée, mais de quelle façon ? Anne Schaub, psychothérapeute spécialisée depuis 20 ans dans l’analyse et le traitement des mémoires prénatales, tente de répondre à la question pour Gènéthique.

 

Gènéthique : A une époque où la femme revendique la maitrise de son corps, a-t-elle encore le choix de ne pas avoir d’enfant ? Une femme est-elle en échec, est-ce qu’elle est « défaillante » parce qu’elle n’a pas d’enfant ?

Anne Schaub : L’enfant tout d’abord, est le fruit d’une rencontre. La maternité ne se construit pas seule, elle est naturellement le fruit de la rencontre avec un homme. Aussi, ne l’envisager que du point de vue de la femme est problématique parce qu’elle supprime une étape, celle de la conjugalité, essentielle dans la croissance et le devenir relationnel de tout enfant. L’injonction tacite à l’enfantement rien que pour soi, brûle l’étape de la rencontre avec l’autre, le différent, celui qui confronte la femme et plus tard, l’enfant, à l’altérité. Sans cette étape conjugale fondatrice, l’enfant risque bien de se trouver réduit à un prolongement de la femme elle-même.

Au regard de ce qui dans notre société intime la femme à enfanter, il est important de rappeler qu’une femme peut aussi se réaliser en dehors de l’enfantement, qu’elle porte en elle différentes possibilités de maternité et de fécondité. Un tel appel sollicite l’élan de vie, la créativité. Une femme peut être « enceinte » d’un projet d’écriture, d’un projet culturel ou artistique, humanitaire, éducatif, politique, éthique… ou que sais-je encore. Si la fécondité d’une femme se réduisait à l’enfantement, que deviendrait-elle quand les enfants grandissent et quittent le nid ?

G : On a érigé l’enfant « désiré » comme préalable à la maternité mais quelles peuvent en être les conséquences pour la mère ?

AS : Jusqu’à peu, l’enfant était l’enfant de la vie, de la rencontre, de la surprise. Maintenant, c’est comme si le désir « conscient » devait précéder l’enfantement et comme s’il était un préalable incontournable voire, impératif. Le désir en soi n’est pas une finalité, au risque d’enjoindre implicitement la femme au message suivant : « Tu l’as voulu, tu l’assumes ». Dès lors, la mère ne peut plus se plaindre, tout doit bien se passer. Tout doit être parfait.

Pourtant le désir initial n’assume pas toute la réalité de ce qu’implique la venue de l’enfant. Un enfant désiré, c’est magnifique mais cela devient problématique quand il n’y a plus de place que pour des enfants désirés. Ils peuvent alors se fabriquer sans limite comme aussi se détruire sans limite. Le désir par ailleurs est rarement « pur ». Il peut être entier, ambivalent, confus ; certaines fois conscient, bien souvent aussi, inconscient. Il se verra toujours éclaboussé, modifié par le réel.

Dans la confrontation au réel, la nouvelle « règle » de « l’enfant désiré » contraint la femme à se montrer toujours en position de force, ce qui fait peser un poids très lourd sur ses épaules. Pourtant, le désir va devoir s’adapter au réel de la vie : au compagnon, à l’époux, à l’absence de partenaire, à la réalité sociale, culturelle, économique, aux accidents de la vie…

L’enfant, tant désiré, doit correspondre à l’intensité du désir et ne peut alors qu’être que parfait. Lourd pour la mère, lourd pour l’enfant. Quant à la possibilité aujourd’hui de l’enfant désiré pour soi, conçu en dehors de soi et sans soi (PMA ou GPA avec donneuse), ne vient-elle pas exacerber chez la femme la flamme du désir et le confondre au fantasme ? Pensé, fantasmé à partir de la seule subjectivité d’une femme, l’enfant devient, dans les faits, objet de désir manipulé par la science, la technique. Il perd son statut de sujet.

G : La technique modifie-t-elle le rapport de la femme à la maternité ?

AS : Forcément, car l’enfant n’est plus celui de la rencontre intime mais celui de la médecine, de la technique. Il est symptomatique d’ailleurs d’entendre parler des premiers médecins qui ont pratiqué la fécondation in vitro comme de « pères », d’Amandine par exemple.

La maternité pour la femme ne se résume pas au fait d’accueillir un embryon en elle. Le préalable de l’intervention de la technique vient intensément modifier et faire intrusion dans le corps de la femme, ainsi que dans l’espace privé du couple. L’action technique induit chez la femme une résonance psychique forte qui ne s’éprouve pas dans la maternité naturelle. Beaucoup de stress entoure celle qui finalement « réussit » à combler son besoin de maternité.

Ce qui est modifié, c’est tout l’espace intime relationnel, charnel et privé. Celui-ci disparaît au profit d’un contexte médical « désaffectisé » (sans affects) où matériel génétique – être humain en devenir, faut-il le rappeler ? – est manipulé entre les mains aseptisées de généticiens et d’anonymes laborantins. L’usage de la technique prive la femme (et le couple) de la chaleur du vivant, de l’enlacement si intime qui s’y conçoit. On quitte l’intériorité, la palpitation secrète du vivant des entrailles maternelles qui attendent comme une promesse le petit œuf humain, pour parler à l’extérieur du corps de la femme de tri de gamètes de qualité, de milieu de culture et de boîte de Pétri, de tubes à incubation et d’embryon « idéal » à choisir. En sortant le vivant du corps vivant, on modifie très profondément le rapport de la femme à la maternité. Il ne faut pas s’y tromper, la femme est amputée d’une part d’elle-même et elle le sait, le sent dans tout son être. Mais le sujet reste tabou pour se révéler dans les cabinets psychothérapeutiques. Nous sommes bien dans le « tu l’as voulu, tu assumes…et tu te tais » alors que la femme doit affronter une série de sentiments prétendument honteux – sentiment inconscient d’impuissance et d’humiliation, d’inaptitude à concevoir et à donner la vie naturellement, souffrance des traitements contraignants, invasifs, à risque et douloureux ; sentiment de v(i)ol de sa féminité, sentiment de culpabilité, peur de ne plus aimer autant l’enfant tant désiré mais qui fait tant souffrir… Sans parler du couple, qui lui, sort rarement indemne d’une telle épreuve.

Quant au lien de la femme à l’enfant, comment va-t-il survivre dans cette tempête physique et émotionnelle ? Comment va-t-il se tisser dans la pensée et dans le cœur de celle-ci ? Pense-t-on suffisamment aux conséquences du lien rompu avec la chair ? Qu’en est-il aussi des sentiments de perte et de culpabilité qui peuvent la poursuivre une vie durant au sujet des embryons « perdus » au cours des successives tentatives de PMA ? Toute PMA inclut d’office un tri embryonnaire (entre 3 et 12 embryons conçus) et donc des pertes de potentiels frères et soeurs, ou des embryons surnuméraires congelés. Avec comme conséquence pour l’enfant « choisi » qui arrive déjà endeuillé au monde, un plus que probable syndrome du survivant à porter parfois une vie durant.

L’être humain est profondément sensible et vulnérable à toute forme de rupture et de perte, fréquemment vécues comme anxiogènes. Quand elles surviennent dans le début de la vie humaine (délocalisation des gamètes hors du milieu corporel, conception in vitro), la mémoire cellulaire de rupture d’avec la chair, qui profondément s’enfouit dans les couches de l’inconscient, peut resurgir au long de la vie sous formes de divers symptômes psychiques ou psychosomatiques. La mère va-t-elle pouvoir identifier et souhaiter entendre, reconnaître ces possibles souffrances de l’enfant conçu par la technique ?

G : Le rapport de la femme à la maternité est-il le même pour une femme qui devient mère via une gestation par autrui ?

AS : Une femme qui devient mère par le biais du ventre d’une autre femme, n’accepte-t-elle pas de se faire par deux fois voler sa maternité ? D’une part, elle est privée du fait de concevoir au cœur d’une rencontre avec son partenaire et d’autre part, ce n’est pas elle qui portera l’enfant durant neuf mois. La question infiniment grave me semble concerner le tissage de lien Mère-Enfant (M-E), processus crucial qui se joue à l’aube de la vie prénatale du tout-petit et influencera son devenir. L’attachement réciproque E-M, M-E se réalise à partir de l’éveil des cinq sens du tout-petit. Disons que l’embryon, le fœtus, est greffé au corps et au cœur de la mère qui le porte. L’utérus de la mère est le terreau initial de l’attachement psychique du bébé à sa mère et la façon dont cet attachement s’est vécu, l’accompagnera sa vie durant. Les neuf mois de gestation et d’attachement M-E constituent le premier socle de la vie affective et relationnelle que la mère offre naturellement à son enfant. Ce temps in-utero est aussi essentiel pour le bébé que les racines le sont pour l’arbre. La maternité s’incarne, s’enracine dans cette période qui suit le désir d’enfant (quelle qu’en soit la teneur). Là se jouent, se nouent et s’impriment nos mémoires émotionnelles, relationnelles et transgénérationnelles les plus profondes, les plus inconscientes mais pourtant durablement influentes sur notre vie. Parfois à notre total insu. Comment la mère commanditaire peut-elle s’y retrouver sur le plan du lien à l’enfant et de l’expression de sa maternité, alors qu’il y a un vide, un trou de 9 mois ? Ce qu’elle ne connaitra jamais, c’est ce que le pédiatre psychanalyste Donald Winnicott appelle la préoccupation maternelle primaire. Il s’agit de la compétence maternelle toute particulière de la femme à « connaître » très intimement son bébé, précisément à partir de ce qui la/les relie/ent par tous ses/leurs sens depuis neuf mois. C’est très incarné le processus d’attachement. Les émotions de la mère qui passent à l’enfant, c’est par son corps qu’elles diffusent et touchent l’enfant ; c’est par la symphonie hormonale que toute grossesse induit naturellement et qui relie la femme très étroitement à ce bébé-qui vient de naître d’elle. Pas à un autre.

Durant les neuf mois de grossesse, la femme enceinte construit l’intuition qu’elle aura de son enfant avant que l’enfant ne puisse se penser lui-même. Qu’en advient-il dans la GPA ? Sachant combien cette première étape de symbiose, de fusion psychique de la mère à l’enfant est un plancher de sécurité fondateur d’équilibre dans le devenir humain, il est aisé d’affirmer combien il est grave pour le nouveau-né d’être programmé avant même sa conception à être retiré des bras de la gestatrice. La mère porteuse va bien souvent se contraindre à refouler cet attachement maternel à l’enfant qui ne sera jamais le sien.

La mère intentionnelle quant à elle ressentira un vide, un creux de maternité durant les neuf mois d’attente.

L’enfant lui, se sentira attendu dans la perspective calculée et contractuelle d’une séparation, ce qui ne le laisse pas indemne d’une plus que probable blessure d’origine teintée d’un sentiment de vide existentiel et d’abandon.

La maternité est un subtil et délicat tissage qui s’opère jour et nuit dans le secret des entrailles et du cœur de la femme avant, pendant et après les neuf mois de grossesse. Volontairement ôter dans le cadre de la GPA l’importante étape de la gestation, ampute la maternité d’un de ses piliers.

G : Quelle mère face à l’absence de père ?

AS : Quand il s’agit d’une situation intentionnellement induite, désirée pour elle-même comme dans les situations de mères qui choisissent volontairement l’enfantement dans un contexte de célibat, ou de deux femmes avec donneur anonyme, le risque pour la mère est de devenir bien malgré elle une mère « engloutissante », indispensable et toute puissante dans le vécu de l’enfant. La situation, bien que douloureuse aussi, est sensiblement très différente dans les circonstances où le père est mort ou lorsque l’homme est parti et que dès lors la mère se retrouve seule avec le ou les enfants : là nous pouvons dire que le père existe ou a existé. Le tiers a un visage.

Le père, de par sa position d’altérité et d’autorité plus naturelle qui lui est reconnue, apporte à l’enfant la dimension de croissance, de limite, de maturité psychique et d’autonomie.

Je pense à ce jeune-homme d’une vingtaine d’années qui est venu me voir. Il a grandi rien qu’avec sa mère, le père ayant fait défaut dès l’annonce de grossesse. Ce jeune homme raconte que quand il était petit, il voulait toujours revenir en arrière, effacer ses traces. Il disait : « Je ne peux pas avancer, je ne grandis pas, je fais du sur place ». Revenir en permanence en arrière, c’est revenir se blottir dans le sein maternel, dépendre de la mère. Alors qu’avancer pour lui, cela voulait dire avoir un travail, une grande maison, une femme, des enfants. C’est exactement ce que permet un père qui, posé comme « différent » de la mère, ouvre l’enfant à l’autre, à tous les autres… et donc au « risque » de la vie familiale et sociale, séparée du nid d’origine. Le père inscrit aussi l’enfant dans une lignée différente de celle de la mère. L’enfant a besoin du lien à sa lignée paternelle autant qu’à sa lignée maternelle pour se sentir complet, unifié à l’intérieur de lui et échapper à l’impression d’être « coupé en deux, une jambe ancrée dans le sol et l’autre flottant dans les airs »[1].

Ce que je constate dans mon cabinet, c’est que la confrontation à la vie réelle peut se trouver mise à mal quand le père est absent. L’enfant, le jeune adulte peut avoir du mal à s’engager, à entreprendre des études, à choisir un métier… N’ayant pas, à défaut de figure paternelle, traversé les étapes psychiques propres à l’Œdipe, il reste englué dans un lien de dépendance avec la mère et souffre de ne pas savoir suffisamment qui il est.

Il est urgent que les décideurs entendent le cri et les tourments secrets des enfants sans père. L’absence de conjugalité mère-père dans la vie d’un enfant sera bien souvent pour lui comme un corps qui dans la vie, doit s’efforcer de marcher sur une seule jambe.

G : Comment aider ces enfants ?

AS : J’entends les professionnels de la santé qui approuvent la PMA sans père et la GPA facilement s’appuyer sur la capacité de résilience de l’enfant, dire aussi combien il est capable de s’adapter et que nous n’avons qu’à l’aider à rendre le parent absent en symbolisant le père… ou la mère…? Pourquoi, en s’appuyant sur cette « excellente » idée ne pas plutôt demander aux adultes (femme seule, deux femmes, deux hommes) en manque d’enfant de symboliser l’enfant absent ?

Il est demandé aux plus fragiles de se fabriquer la présence du parent absent par voie de symbolisation, ou d’en faire le deuil, ce que certains enfants pourront peut-être entreprendre. Mais pas tous ! Comment concevoir un enfant qui dès le départ de sa vie sera contraint de faire un chemin difficile et pour certains, bien douloureux ? C’est plutôt un chemin que l’on devrait demander aux adultes. Imposer un tel travail psychique au plus petit, c’est lui demander d’investir une colossale part de son énergie dans un processus de réparation du dommage existentiel d’origine qui lui est imposé. Alors qu’il s’agit dès sa conception de veiller à sa quiétude et à son « plus grand intérêt »[2]. Il s’agit de le protéger, et non d’organiser des distorsions de repères parentaux qui quittent le réel possible, uniquement pour satisfaire les désirs d’adultes. Avant de penser à aider les enfants, il s’agit d’empêcher que se poursuivent des scénarios qui manipulent le réel pour l’adapter aux adultes qui veulent un enfant « à tout prix »… au propre comme au figuré.

G : Comment l’enfant va-t-il pouvoir lire sa filiation dans les multiples scénarios d’assistance médicale à la procréation, surtout avec donneurs externes ?

AS : Au sens juridique, la filiation est à comprendre dans le sens de « lien de descendance immédiate unissant un enfant à son père et/ou à sa mère ». Tout être humain doit son existence aux gamètes maternel et paternel. Aussi, certains scénarios d’engendrements totalement improbables sur le plan du réel imposent des souffrances et des quêtes qui dépassent les forces des enfants. Et je pense notamment à ceux issus d’un don qui ne peuvent pas mettre un visage sur la paillette de sperme à l’origine de leur naissance et qui vont chercher leur donneur, éperdument. Un manque qui « le tordait, le dévorait », témoigne Arthur Kermalvezen dans son livre[3]. Ce besoin qui crie en eux est quelque chose de physique, de corporel qui prend leur énergie jusqu’à les épuiser. « C’est comme un robinet ouvert en permanence ». « L’accès aux origines, être privé de savoir d’où on vient, à qui on doit la vie » dit-il encore, « est quelque chose d’extrêmement polluant ». Une telle quête peut devenir obsessionnelle et émotionnellement submergeant. L’enfant se trouve placé dans une situation perverse : il a un père psychologique et juridique, mais il est dans l’attente constante de voir son père biologique. La quête des origines est pour certains comme un appel charnel et psychique, une attraction existentielle très profonde, incontrôlée. Pour clore votre question je dirais : personne ne peut « lire » sa filiation sur du vide.

G : Comment réconcilier maternité et paternité ?

AS : Je crois qu’il faut renouer avec la dimension de conjugalité qui est le plus beau terreau de croissance que la vie puisse offrir à un enfant. Quand il est abîmé… c’est toujours une source de souffrance pour le petit. La maternité et la paternité sont des dimensions profondes qui se préparent et s’incluent mutuellement dans une réalité conjugale dont l’enfant aura besoin dans la vie comme d’eau et de pain. Il est temps de réfléchir à la façon de prendre soin du couple appelé à vivre la maternité et à la paternité, de façon à ce qu’il se soude et dure. Réconcilier maternité et paternité, c’est je pense reconnaître en chacune de ces dimensions une façon d’être spécifique, qui n’a besoin ni de s’opposer ni d’annuler l’autre pour exister. Elles se complètent, se cèdent mutuellement la place dans une intelligence d’amour qui offre à chacun son rôle unique, son mode d’interaction et sa compétence distincte de l’autre. Etre mère et être père, c’est découvrir et laisser l’autre se révéler profondément différent dans l’interaction avec l’enfant et admettre cette réalité, ce hiatus comme étant important, indispensable pour la croissance de l’enfant. Réconcilier maternité et paternité, c’est me semble-t-il fondamentalement acquiescer au fait que l’un et l’autre ont leur place dans la vie d’un enfant, et ne sont pas interchangeables… Deux piliers de vie pour l’enfant, aussi indispensables que l’ont été l’ovocyte et le spermatozoïde pour que jaillisse sa vie.

 

 


[1] Le fils, J. Kermalvezen, p. 52.

[2] Cf. Convention pour les droits de l’enfant.

[3] Le fils, J. Kermalvezen.

Photo : iStock

 

 

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