L’objet de cette collaboration est la perspective de mettre au point le premier rein imprimé en 3D avant de tester la toxicité des médicaments, “dans des conditions proches de la réalité”. Cette mission est confiée au pr. Melissa Little de l’Université de Queensland. Elle explique “Si nous pouvons tester la toxicité des médicaments sur les reins avant même de la tester sur l’homme, nous pourrions gagner beaucoup de temps, d’effort et d’argent”. Et de préciser que le but ultime est “bien évidemment de pouvoir imprimer des reins en vue d’être transplanté sur des humain”.
En début d’année, Organovo avait annoncé avoir imprimé des cellules de foie humain (Cf. Synthèse Gènéthique du 12 février 2014).
3Dnatives (Alex) 24/05/2014