A l’Université de Tokyo, quatre singes souffrant de la maladie de Parkinson ont montré des signes d’amélioration, suite à l’implantation de cellules souches embryonnaires humaines dans leur cerveau. Les 4 singes, qui bougeaient spasmodiquement et peinaient à contrôler leur corps, ont montré des signes d’amélioration dès 3 mois, puis ont retrouvé leur mobilité après 6 mois.
Les résultats de la recherche de l’équipe du Pr Jun Takahashi, publiés fin 2011 dans le Journal of Parkinson’s Disease, représenterait un espoir pour une thérapie applicable à l’homme. Mais d’autres études précliniques sur des primates sont nécessaires avant un éventuel essai sur l’homme.
Dans cette expérience, le Pr Jun Takahashi et son équipe ont utilisé des cellules souches embryonnaires humaines. Ils souhaitent, en cas d’expérience médicale sur l’homme, utiliser des cellules souches pluripotentes induites (iPS), qui ne posent pas de problème éthique.
L’Express.fr 22/02/12 – La Croix 23/02/12 – Santelog.com 22/02/12