Une campagne de protestation s’élève contre l’interruption volontaire de grossesse (IVG) dépénalisée dans la capitale administrée par le maire, Marcelo Ebrard.
Cette dépénalisation autorise l’IVG sans restriction jusqu’à la douzième semaine. Aujourd’hui, 16 des 31 Etats de la République fédérale du Mexique ont refusé de légaliser l’avortement. Dans les Etats qui l’autorisent, l’avortement est possible en cas de viol, d’inceste ou de danger pour la santé de la mère.
Le Parti d’action nationale (PAN), auquel appartient le président Felipe Calderon, est à l’initiative de ce mouvement d’opposition.
Le Figaro.fr 16/12/09