La loi votée aujourd’hui au sénat italien devrait condamner lourdement les dons d’ovocytes et de sperme.
Les désaccords les plus profonds entre les sénateurs portent sur l’article 4 :
la loi prévoit une amende de 300 000 à 600 000 €, et la suspension de la profession de un à trois ans pour un médecin qui aurait recours à cette technique de fécondation artificielle.
Et l’article 13 selon lequel les embryons ne peuvent ni faire l’objet de recherches expérimentales, ni être congelés ou supprimés.
Libération 11/12/03 – La Croix 11/12/03 – Le Figaro 11/12/03