Une étude japonaise vient de prouver que la différenciation des cellules reproductrices chez la souris ne s’effectuait pas toujours en fonction des conditions environnementales auxquelles elles sont soumises. Leur empreinte génomique semble obéir à l’orientation sexuelle définie à un stade embryonnaire précoce.
Le Quotidien du Médecin (Dr Bernard Ollivier) 02/03/05