Sous respiration artificielle, Charlie Gard, atteint d’une encéphalopathie, est un bébé qui ne peut ni voir, ni entendre, ni bouger. Il est impossible de savoir s’il ressent la douleur. S’il semble condamné, les parents ont cependant souhaité explorer « toutes les options possibles ». La dernière se trouve être un traitement proposé par un médecin américain. Mais le traitement n’a jamais été utilisé pour une telle pathologie, et le médecin admet qu’il est très peu probable qu’il y ait la moindre amélioration.
La Cour d’Appel a jugé que le trajet et les soins ne seraient pas bénéfiques à l’enfant et pourraient être cause d’un plus grand désespoir pour les parents. Elle a confirmé le premier jugement et refusé de laisser partir Charlie Gard (cf. Un juge britannique autorise les médecins à laisser mourir un nourrisson contre l’avis de ses parents).
Les parents de ce dernier ont exprimé leur intention de défendre leur cause jusqu’en Cour Suprême.
BioNews (30/05/2017)