Ce 1er avril entrent en vigueur des directives concernant l’édition du génome humain au Japon (cf. Japon : vers l’autorisation des embryons génétiquement modifiés). Elles autorisent les modifications du génome d’embryon humain dans le cadre de la recherche sur la procréation médicalement assistée. De telles recherches impliquent des embryons surnuméraires[1], ils ne seront pas implantés et seront donc détruits à l’issue des projets. Chaque équipe de recherche devra faire une demande spécifique ; elle sera soumise à l’approbation d’un institut de recherche et du ministère de l’Education de la culture, des sports des sciences et technologies.
[1] Terme employé pour désigner les embryons conçus dans le cadre de procréations médicalement assistées qui ne font plus l’objet d’un « projet parental ».
Japan Times (30/03/2019)