En octobre dernier, l’Université d’Harvard avait interpellé la justice afin d’obtenir l’autorisation de poursuivre ses recherches en cours sur les cellules souches issues d’embryons humains (cf revue de presse du 15/10/2004). Elle voulait se protéger d’éventuelles poursuites, relatives à une loi en vigueur depuis 1974 dans l’État du Massachusetts qui interdit d’utiliser des foetus issus d’un avortement.
L‘Université vient d’obtenir l’autorisation de poursuivre ses travaux et notamment la mise à disposition de la communauté scientifique mondiale de 17 lignées de cellules souches embryonnaires.
Info Science 22/02/05 – BioNews 22/02/05