Des chercheurs du Wellcome Cancer Institute of Cambridge ont démontré que de l’amas de cellules indifférenciées résultant de l’avortement d’un clone de grenouille, on pouvait extraire des éléments permettant de fabriquer des tissus musculaires, osseux ou cutanés.
L‘ADN de l’embryon avorté pourrait être transmis à l’embryon viable par la greffe des cellules souches.
Quotimed 24/04/02