Les scientifiques britanniques pourraient être autorisés à créer des chimères embryonnaires, mi humaine, mi animal, destinées à la recherche. Celles-ci seraient obtenues à 99,9% à partir de cellules humaines et à 0,1% à partir de lapin, vache, cochon, mouton ou chèvre.
Les scientifiques souhaitent utiliser les cellules souches embryonnaires pour mettre au point de nouveaux traitements contre la maladie d’Alzheimer, de Parkinson, d’Huntington ou la mucoviscidose.
Un projet de texte est actuellement à l’étude. Il devrait être prêt en mai et devrait définir les conditions dans lesquelles ces recherches pourraient être autorisées.
The Telegraph (Nic Fleming) 01/03/07