Une étude publiée dans la revue Reproductive Biomedecine Online vient de montrer que les embryons présentant un taux élevé de HLA-G (groupe d’antigènes d’histocompatibilité) auraient plus de chance d’être compatibles avec leurs mères donc de se développer jusqu’à terme. L‘étude a été menée par le Sher Institutes for reproductive Medecine (Las Vegas) et le laboratoire Millenova (Illinois) auprès de 201 femmes qui devaient avoir recours à l’ICSI. Ces femmes ont été divisées en deux groupes (plus ou moins âgées de 39 ans). Dans les deux groupes, celles ayant reçu au moins un embryon présentant un taux élevé de HLA-G ont obtenu de meilleurs résultats que les autres : 71% de réussite contre 22% chez les plus jeunes et 52% contre 15% chez les plus de 39 ans.
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Futura Sciences 24/05/04