Diane Pretty, une anglaise de 42 ans paralysée par une dégénérescence nerveuse incurable souhaitait obtenir de la justice britannique que son mari ne soit pas poursuivi pour meurtre, s’il l’aidait à se donner à la mort (cf. notre revue de presse du 19/10/01). Les cinq juges de la chambre des lords viennent de lui refuser ce droit au suicide en estimant que le suicide assisté était illégal.
La Croix 30/11/01