En Equateur, le Parlement a rejeté à 5 voix près la proposition de dépénaliser l’avortement en cas de viol ou de malformation du fœtus.
La législation en vigueur autorise l’avortement lorsque la vie ou la santé de la mère est en danger ou si la grossesse est le résultat du viol d’une femme souffrant d’un handicap mental. Les autres cas sont passibles d’une peine de six mois à deux ans de prison, 16 ans si la mère décède.
AFP (18/09/2019)