L’Inserm[1] et la DREES[2] publient les premiers résultats de l’enquête nationale périnatale 2016. Alors que les facteurs de risques chez la mère augmentent, « le taux de prématurité augmente » ainsi que « la proportion d’enfants avec un poids faible ».
En comparant les résultats de 2010 avec ceux de 2016, « certains facteurs de risque ont augmenté » : les femmes procréent plus tardivement, à partir en moyenne de « 35 ans ou plus », mais sont également plus souvent en « surpoids » ou « obésité », de même que la « consommation du tabac n’a pas baissé ».
Du côté des nouveaux nés, depuis 1995 « le taux de prématurité augmente » en passant de 4,5% en 1995 à 6% en 2016.
Pour aller plus loin :
Enquête de l’Inserm : des progrès pour les enfants nés prématurés en France
[1] Institut national de la santé et de la recherche médicale.
[2] Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques.
Presse Inserm (11/10/2017)