En Inde l’avortement est autorisé jusqu’à 20 semaines. Une jeune Indienne de 18 ans, enceinte de 27 semaines suite à un viol, a demander à pouvoir avorter, estimant que « si elle donne naissance à l’enfant, cela lui causera un traumatisme mental à vie ».
Le 6 septembre, la jeune fille a été entendu par une commission spéciale de l’hôpital, celle-ci a statué qu’une IVG mettrait la vie de la jeune fille en danger. Les juges ont ajouté que, dans ce dossier, la jeune fille n’était pas la seule impliquée puisque « cela concerne aussi les droits du fœtus ».
Times of India, Rosy Sequeira (10/09/2018)
Rosy Sequeira
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