Un recours hiérarchique a été introduit auprès du ministre de la Santé afin qu’il interprète de manière plus étendue la notion de "frère" et de "soeur" dans le cadre d’un don d’organe.
Martine Courrier, une malade insuffisante rénale, s’est en effet vu refuser une greffe de son demi-frère biologique, Jean-Pierre Serrurier, au motif qu’il n’avait aucun lien juridique avec elle. Celui-ci, né d’une relation extra-conjugale de leur père, n’a jamais été reconnu par ce dernier.
Libération 25/01/11