Le texte de révision de la loi de bioéthique aurait dû être soumis à l’Assemblée Nationale le 15 janvier prochain. Mais le premier Ministre, embarrassé quant à la question de l’utilisation des cellules souches issues des embryons surnuméraires et ne voulant pas heurter la partie la plus religieuse de l’électorat, a décidé tout simplement de ne pas inscrire ce projet de loi au menu des travaux parlementaires.
Le Figaro 07/11/01