Dans son bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publié le 12 mai, l’Institut de veille sanitaire traite du dépistage pré et néo-natal en France : « Faisons nous bien ? Comment mieux faire encore ? »
Analysant des travaux de l’Agence de Biomédecine et de l’Association Française pour le Dépistage et la Prévention des Handicaps de l’Enfant, l’Institut « conclut globalement au ’sérieux’ et à la bonne organisation du modèle français », sans parler « des enjeux éthiques associés au dépistage, en particulier prénatal ».
Le BEH « effleure la question » du diagnostic de la trisomie 21 : « Le diagnostic prénatal reste un sujet de controverse ». Un article y est néanmoins consacré, il analyse « l’impact des tests sur le nombre d’amniocentèse effectuées », « sans questionner la proportion de femmes choisissant d’avorter lorsqu’elles apprennent que leur bébé est atteint ».
La Croix (Marine Lamoureux) 12/05/2015; InVS (12/05/2015)