Après la création du « certificat européen de filiation », Aude Mirkovic rappelle les enjeux de la gestation pour autrui.

Après la création du « certificat européen de filiation », Aude Mirkovic rappelle les enjeux de la gestation pour autrui.
Dénonçant le manque de transparence et doutant de l’impartialité du groupe de travail de la HAS, Juristes pour l’enfance a saisi la justice.
Afin d’éclairer les enjeux juridiques de l’”affaire Pierre Palmade”, entretien avec Aude Mirkovic, porte-parole et directrice juridique de Juristes pour l’Enfance.
La Cour de cassation a eu à connaître le 21 septembre dernier d’une question peu banale en matière de GPA puisqu’elle concerne l’autorité parentale de la mère porteuse.
Le 15 juin dernier, la Cour de cassation était saisie par la mère d’un jeune homme décédé d’un cancer. Elle demandait la “restitution” des gamètes de son fils.
La Cour d’appel de Toulouse a ordonné la mention du mari, devenu femme à l’état civil, sur l’acte de naissance de l’enfant comme « mère ».
Un juge a accepté de partager l’autorité parentale entre 4 adultes. Aude Mirkovic décrypte cette décision pour Gènéthique.
Tout en remettant en cause certaines dispositions votées par l’Assemblée nationale, le Sénat n’a pour autant pas pris la mesure des dérives engendrées par l’ouverture de la PMA aux femmes homosexuelles et aux femmes seules. Alors que le projet de loi de bioéthique poursuit son parcours parlementaire et s’apprête à faire l’objet d’une deuxième lecture à l’Assemblée nationale, Gènéthique fait le point avec Aude Mirkovic, Maître de conférences en droit privé et Porte-parole de l’association Juristes pour l’enfance, auteur de PMA : un enjeu de société[1] et du roman En rouge et noir,[2] sur le texte qui vient d’être adopté par les sénateurs.
Le projet de loi de bioéthique, en cours d’examen au Parlement, introduit dans le code de la santé publique des dispositions relatives aux « Enfants présentant une variation du développement génital ». En novembre dernier, le Comité Consultatif National d’Ethique (CCNE) a publié un avis concernant les « Questions éthiques soulevées par la situation des personnes ayant des variations du développement sexuel ».